«Le sentez-vous, ce parfum doux et subtil du mensonge…? Il vous enivre, lentement, se mêle à votre odeur, vous fait perdre la tête.»
♠ Je vie mais à quel prix ♠ Née un soir d’hiver dans un petit village dont le nom ne mérite pas d’être retenu, Kaori poussa son premier souffle de vie dans ce monde qui lui était inconnu. Mais cela était il réellement une bonne chose en soi? Cette enfant avait pourtant tout pour réussir. Dés sa naissance il échappait déjà au pire. Ses parents l’aimait et le chérissait bien même avant sont arrivé. L’environnement dans lequel ils vivaient était plus que favorable et déjà un brillant avenir lui était tout désigner. En soi la vie lui souriait. Ou du moins, presque.
C’était une chose peu usuelle qui n’était pas non plus exceptionnel. L’étonnement ne fut pas présent lorsqu’on diagnostiqua la maladie de nouveaux née. Ou plus exactement, une défaillance génétique. Afin, qu’importe le nom qu’on lui donner. Le nouveau née n’avait pas le choix et devait vivre avec. Il va de sois qu’il n’est gère évident de débuter son existence avec un telle handicape. Mais ainsi aller la vie. Un nouveau hermaphrodite venait de voir le jour en se rude soir d’hiver.
♠ La vie est une comédie bien agréable quand on n’est pas forcer de jouait un rôle. ♠On débute zéro. Puis à un. Ensuite on va jusqu'à cinq candidement. Pour continuer jusqu' à huit par simple curiosité. Après sa défile jusqu’a treize pour prolonger à seize ans. Au finale, on ne sait jamais quand cella se termineras…
Déjà seize ans se sont écoulés depuis la naissance de Kaori. Bientôt dix-sept. Mais pour sa, nous n’y somme pas encore. Ses jours vécue ne sont pas forcément glorieux, mais il était plutôt satisfait de sa situation. Il se débrouillait, fessant de son mieux pour s’intégrait. Il survivait dans se monde qui n’est pas le sien. Essayant en vain de trouver sa place dans cette société. Les gens n’arrivaient pas à savoir qui il était vraiment, d’ailleurs lui aussi l’ignorait. De ce fait, il essayait de satisfaire les désirs et exigence des autres. Si on le prenait pour un garçon, il était un garçon ; si on le prenait pour fille, alors il était une fille. Ainsi soit-il. Ce jeu de rôle dura longtemps... Sans doute cette mascarade aurait-il pus durée indéfiniment si l’amour ne s’était pas mêler.
♠ Trop aimer et espérer, c'est se préparer une déchéance fatal ♠ Nous voici enfin à l’année de ses 17 ans. Es se une bonne chose ? Surement pas. «
Pourquoi ? » Me direz-vous. Et bien se fut la période ou toute ses rêves se brisèrent pour ne laisser place qu’à la désolation et la désillusions. Sans le moindre remords, on lui anéanti le cœur.
Le cœur a ses raisons, et parfois il s’emballe. Personne ne peut échapper à se fléau que l’on nomme « Amour ». Non, vraiment personne. Et Kaori ne fut pas l’exception. Il était amoureux. Depuis le premier jour où il l’avait rencontré, il avait eu immédiatement un coup de foudre. A se moment précis, quelque chose c’est libéré en lui. Sans doute es ce le fait que c’était la première fois que son cœur s’ouvrit réellement. Cella restera sans doute sa plus belle émotion… Kaori fut d’une certaine manière soulager d’une partie de son fardeau. Enfin ! Oui, enfin elle recevait l’affection qu’elle espérait tant. Kaori connue l’extase du premier amour. Le premier « je t’aime » qui restera graver à jamais dans ses souvenirs. Ses lèvres seront éternellement marquer par son premier baiser. Elle aurait tout donnée pour lui. Son chère et tendre amoureux que jamais elle ne pourrait quitter. Elle, non. Mais lui…
C’est le grand jour. Ils vont passer à l’acte. Se jour tant attendu arriva pour le plus grand bonheur de Kaori. Mais elle à peur. Ne sachant pas se qui aller arriver, comment les choses aller se dérouler. Ils se trouvent chez lui. Seul dans son appartement. Sa y est, l’adrénaline est présente. Elle essaye de contenir son stresse. Après tout, ils s’aiment. « Tout se passera bien ». Cette petite phrase passa en boucle dans sa tête. Elle se rassure, ne voulant surtout pas faire le moindre faut pas qui pourrais décevoir son compagnons. Doucement, s’apaise et se laisse bercer par ces caresses et ses baisers. Kaori commence petit à petit à se décontracter et prend de l’assurance. Et lors du moment fatigue, elle se sent plus que prête.
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Menteur~
Se simplement mot auras raison d’elle. Le cœur serré. Elle n'osa plus prononcer le moindre mot. A présent, il lui semblait impossible de le toucher. C’était la fin. En face de l’hermaphrodite, se n’était plus l’homme qu’elle aimait. Ou était donc passer son regard si doux et amoureux ? Pourquoi ses yeux étaient-ils remplis de haine et de dégout ? «
Menteur » résonna une fois encore dans la pièce et surtout dans son cœur. La peur s’empara de lui, il ramassa lentement ses vêtements en tremblant ne sachant que dire ou faire. Celui qu’il avait aimait le brusque. L’oblige à se dépêcher. Pour au final le jeter comme un vulgaire déchet or de chez lui.
Ce fut la fin de son premier amour et la dernière fois qu’elle le vue.
Pour elle/lui la chute commença…
♠ Le plus grand charme du passé, c'est l'oubli ♠La mort dans l’âme, complètement déboussolé, il tenta d’autres relations bien plus tard pour essayer d’oublier celle du passer. Mais toutes se soldaient par un même échec. Doucement il commençait à dépérir… Ne sachant plus qui il était et se qu’il était. Au finale, il ne s’était forgé aucune personnalité. Sa vie avait elle vraiment un sens? Pour le moment, elle ne mené à rien : Il ne trouver pas d’emploie, ses relation amoureuse ne durer jamais gère longtemps et quand à ses amies… Ses amies. En avaient-ils réellement des « amies »? Non. Il n’avait personne à qui se confier. Personne pour raconter ses peines et ses craintes. Il était seul. Définitivement isolé.
Les années passèrent, rien ne changer. Koari avait l’impression de sombrer dans la folie. Au départ, il pensait qu’il souffrait
simplement d’une sévère dépression. Puis, il se mie à ressentir des émotions qui ne s’embler pas lui appartenir. Dés fois même, il lui arriver d’avoir quelque douleur physique sans la moindre raison apparente. Oui, il devait surement fou. Et le suicide aurais surment pue le délivrer. Au lieu de sa, il alla consulter un médecin. Puis deux. Et enfin trois. Au final, on lui parla d’une maladie qui lui était complètement inconnu. Sans vraiment chercher plus d’information, il suivie l’adresse qu’on lui avait donné, sans savoir ou cella aller l’emmener. Sa destination : l’Île du Joker.
♠ La vengeance est une justice sauvage que je compte bien appliquer ♠ Le jour de son arriver sur l’île, Kaori ne l’oubliera jamais. Il venait de faire une rencontre. Une rencontre qui le sauva. Le Joker, celui que tout le monde craignait, s’intéresser à lui. Lui qui avait toujours était exclue. Son sauveur lui fit une proposition, qu’il ne pue refuser. C’est ainsi qu’il devenu l’une de ses Dames.
A présent, les règles du jeu on changer.
Ils l’ont manipulé, à présent ils seront les proies. Ils éprouvaient du mépris à son égard, maintenant se seras du respect. Ils le jugeaient et le critiquer, dés lors c’est lui le seul et unique juge.
Ah bon ? Ils voulaient vivre ? Et bien ils apprendront à mourir.
«Le principal défaut de l'homme, c'est de vouloir être à tout pris le meilleur en sachant pertinemment que le meilleur reste à venir... Alors à quoi bon partir ?»