Caractère :
Un jour oui un jour non, un jour Pierrot et le lendemain il est Arlequin. Une succession de masques passent devant son minois tout innocent. Un grand acteur aux costumes excentriques et arrachant des sourires, il nous fait valser et rêver puis salue la foule en délire par un beau fuck. Rideau.


Méfiez-vous ; Ho oui, méfiez vous d’un calme bien trop tranquille qui aux premiers abords le caractérise car vous avez devant vous un phénomène des plus lunatique. L’explosion de sa personnalité vous brûlera si vous n’y allez pas en douceur.
Kin n’est pas un méchant garçon… à la base - Disons qu’il est spécial et que l’on ne peut distiller parfaitement les mots qui définiront sa personne. Il a toujours été indescriptible et particulier. Certains le verront comme un boute-en-train, ou alors un Don Juan de première et d’autres en auront peur... Il est un subtil mélange de couleurs bien différentes des unes des autres et qui parfois entrent en conflit. Oui, il se dispute souvent avec lui-même entre côté sadique et côté complètement niannian... Loin d’être un cas de schizophrénie mais pas loin de la folie, je vous l’accorde. Jamais il ne trouvera en lui qu’une seule et unique façon de voir le monde et de réagir. Parce qu’il est comme ça, parce qu’il est dans sa nature d’être bizarre.
Rien ne doit être fait au hasard. Kin a une grande capacité d’analyse et bien qu’il paraisse souvent sous influence de speed, chacun de ses actes est réfléchi à une vitesse assez impressionnante. Son esprit n’est jamais en paix, ainsi il lui arrive souvent de faire des insomnies parce qu’il a cette chanson ridicule qui tourne dans sa tête ou parce qu’il cogite trop sur des questions peu utiles. Ho il ne s’en plaint pas de ces nuits blanches, il aime la nuit et a toujours de quoi s’occuper lorsque le marchand de sable l’a fuit. Et surtout lorsque quelqu’un partage son lit….Chose qu’on apprécie peut être pas de se faire réveiller a trois heures soit dit en passant mais bon.

Kin est joueur, ca l’amuse de duper le monde, d’être intriguant et de savoir que l’on parle sur lui sans jamais être d’accord. Il ne veut pas être un monsieur tout le monde mais préférerai plutôt être un monsieur personne. Ah oui, évitez de lui tourner le dos, il risquerait de se moquer de vous ou de vous faire une mauvaise blague.. Bref, Kin s’adapte ou bien par impulsion il envoie chier. Vous aurez beau être ami, amante ou même famille - ces chers privilégiés d’une vie sociale ; vous ne serez pas épargnés de ses comédies macabres aussi bien que grotesques. Tout simplement parce qu’il n’y a que lui et qu’il sera très difficile que les mots « tu es tout ce qui m’importe » arrivent un jour à passer la barrière de ses lèvres. Personne n’est important, personne n’est privilégié, tout le monde est au même stade.

Le Beetlejuice a des gouts bizarres et opposés à toute créature humaine. Ca lui correspond plutôt bien… Pour lui, aucune menace ne peut le changer sa façon d’être même si l’apocalypse était pour demain. Il vit sa vie tranquillement, riant au nez de ceux qui sont hideux, ne laisse jamais sa place aux personnes âgées dans le bus et mange tout dans les supermarchés sans payer. Kin est un parasite, une personne infecte que l’on voudrait volontiers se débarrasser à coups de batte de baseball parfois. Mais rien n’y fera et tant que la sangsue n’a pas été satisfaite, elle ne se décollera pas et c’est tout. C’est ainsi qu’il fonctionne.
On entre dans sa vie aussi facilement que l’on peut en sortir, tout dépend de lui et comment il gère ses relations, ses pulsions ainsi que ses désirs. Parfois on ne sait même pas si l’on fait vraiment parti de son cercle social (il le met a jour toutes les heures). Ce comportement est dû à son manque de confiance en autrui alors il abuse et s’amuse avec les gens comme de vulgaires marionnettes dans un théâtre de très mauvais goût. Il est chiant, collant mais au final peut être agréable et plutôt rigolo. Il a un bon humour et contre toute attente il lui arrive souvent de dire des choses intelligentes. ET si j’allonge la liste de ses qualités, il n’est pas du genre radin. Passez donc un jour le voir.

Il est un très bon antidépresseur, mais gare à la dépendance qui vous pourrira la santé. Ou comment dire : à consommer avec modération.

Aime :
Kin n'est pas très difficile, donnez lui un ordi, des mangas et des surceries, il sera le plus heureux du monde. Il aime également rire et sortir le soir.

Déteste :
Les shojo et le sport. Jamais on ne le verra courrir après un bus.

Style vestimentaire :
Il porte toujours un style très excentrique et sait marier les couleurs très sombres avec celles qui sont flash. C'est un Otaku en plus d'être dépendant de jeux vidéos, il a souvent une montre en plastique d'un de ses animés préférés qu'il achète dans les distributeurs a la sortie des supermarchés.

Casier judiciaire : Il s'est souvent fait prendre en train de donner des jeux vidéos de la boutique dont il est employé. A force les gérants portent plainte. Autrement il s'est fait choper pour dégradation de biens, troubles et exhibition en lieux publics. Il aime bien rentrer chez les inconnus et une fois on l'a poursuivit pour pédophilie alors qu'il échangeait juste des cartes pokémon avec un gamin. La liste est bien longue.

Son histoire est une blague du début à la fin.

Kin vit le jour en pleine nuit par un superbe ciel couvert. Sa mère avait froid et venait d’être réveillée en plein milieu de la nuit par des contractions horribles. Juste pour la faire bien chier. Il est sorti par l’utérus de sa mère WOUHOU comme un grand mais avec l’aide du médecin quand même et il chialait a en briser les tympans de tout le monde. Sauf son père, il était tombé dans les pommes.

Il eu une enfance débordante de boue, de vomi, de poux, de chiasse, de maladies, de petits pots dégueu et de gribouillis avec des feutres indélébiles sur le lit de ses parents. Fils unique, parce qu’on en voulait pas d’un deuxième comme lui, il s’était fait un frère imaginaire. En fait c’était une boite de conserve qu’il avait juste baptisé Kana mais c’était un garçon parce que les filles c’est nul. Nous verrons plus tard en quoi ce frère bouleversa sa vie.

Ses parents étaient tous les deux commerçants et gérants d’un combini où il faut rester debout toute la nuit. Mais grâce à Kin qui avait eu du mal à faire ses nuits étant bambin, ils avaient pris l’habitude de se lever en plein milieu de la nuit. Kin aimait bien inverser les prix des bentos et voir les gens choqués de la différence des prix du jour au lendemain. En général il restait à côté de la caisse quand les clients étaient mécontents de l’augmentation. Le petit aimait répondre « c’est la crise monsieur ! Même papa il paye plus cher les livres d’images pour les grands ! » avec un immense sourire.
Kin était déjà un gosse spécial, et ses parents légèrement inquiets de son comportement anormal l’avaient emmené voir plusieurs psychiatres pour enfant. Il aimait bien les psychiatres parce qu’ils lui demandaient toujours de faire des dessins. Alors il dessinait ses parents dans leur lit en plein ébat comme il avait vu la nuit de la veille ou alors une fourmi atomique qui vomissait des cacahouettes bleues ou alors super boudin qui tuait la maitresse avec une mouette. De jolis dessins mais jamais affichés sur le frigo parce que le psy voulait les garder jalousement. Il en faisait d’autres à l’école tant pis.
Ah- l’école !! Il s’y ennuyait. En réalité il n’aimait pas jouer avec les enfants et préférait la compagnie des enseignants. Ce n’était pas réciproque mais ça ne les empêchaient pas de convoquer ses parents pour les difficultés scolaires. Comme on ne le voulait pas une seconde année, il n’a jamais redoublé alors qu’il continuait de ramener des bulletins minables.

Après de nombreuses séances chez plusieurs psychiatres pour enfants, on avait fini par dire qu’il est surdoué, très énergique et surtout débordant d’imagination. Ses parents avaient rit a la première. Et pour les convaincre, le psychiatre donna à Kin un test de niveau en lui promettant un jeu s’il travaillait sérieusement. Il eut la note maximale, ses parents restèrent sur le cul et il joua à son jeu pendant une semaine. La fainéantise, selon le psy, est l’un des plus gros défauts des surdoués. Il lui suffit d’une bonne motivation pour pouvoir réussir.

Sur les conseils du psy, ses parents lui promirent un chien en récompense s’il arrivait à réussir les examens d’entrée au lycée. Une fois encore c’était un sans faute et il eu un petit chien qu’il avait appelé pinpin parce que les gens ont l’air con quand ils le cherchent ; Et lui le premier mais ça, il n’y avait pas pensé. Un autre conseil pour l’aider à extérioriser son imagination et son énergie, il devait trouver une occupation artistique ou faire du sport. Son père l’avait inscrit au judo mais il fut renvoyé dès la première séance en ayant essayé de reproduire un kamehameha avec une bombe à eau sur le prof. Sa mère l’inscrivit finalement en cours de théâtre et là ça se passait mieux. Très doué en comédie, il donnait enfin à ses parents une occasion d’être fiers de lui. Même son chien venait assister à ses représentations. Ca lui donnait également du succès auprès des filles, car oui a cet âge là les filles ne sont pas nulles et a partir de ce moment là, il enchaina les petites amies, les plans culs et autres…. Il ne se souvient jamais de leurs prénoms quand il les croise mais essaye toujours de les reconquérir avec un joli sourire, juste au cas où.

Un jour ce fut le drame.

Alors qu’il s’apprêtait à déménager de chez ses parents, un carton tomba à la renverse, poussé par une pile de livres qui étaient tombés là à cause du vent car la fenêtre s’était ouverte parce qu’il ne faisait pas beau dehors. Bref, la boite conserve qui avait été son frère imaginaire (je vous l’avait dit !) roula sur le plancher, dévala les escaliers et se retrouva sur la route. A ce moment là une voiture passa a toute allure, la musique a fond avec un « A » collé sur la vitre et voulu éviter la conserve pour ne pas péter ses suspensions qu’il venait de changer. D’un coup sec de volant vers la droite, il ne vit pas Pinpin tout mignon qui s’amusait avec sa petite baballe.

Le chien fut écrasé.

Ce fut le début d’une longue période de tristesse et de pleurs pour au moins une heure. Ses parents toujours aussi inquiets l’emmenèrent chez le toubib parce qu’ils n’avaient plus de mouchoirs à la maison.
Il y eut un petit mal entendu à ce moment là.
Kin racontait au toubib combien il avait souffert quand son ami avait été percuté contre cette voiture et qu’il avait eu l’impression de saigner autant que lui alors qu’il n’avait pas une seule plaie d’ouverte. Il lui avait décrit avec précision la souffrance intérieure qui devait être aussi grande que cette de son ami.
Le médecin ne savait pas qu’il s’agissait d’un chien écrasé comme Kin n’avait rien ajouté…Il avait plutôt imaginé un de ses amis qui venait d’avoir eu un accident. Mal à l’aise, et pensant immédiatement à cette malédiction qui semait le doute partout, le médecin lui conseilla de se rendre à une adresse. En s’y rendant il fut embarqué sur une île.

Chouette des vacances aux caraïbes !
Ah en fait non….

Il y avait emménagé sans vraiment savoir ce qu’il s’y passait ni pourquoi les gens semblaient si effrayés parfois. Les mois passèrent, en se faisant quelques connaissances il avait réussit à comprendre pourquoi il était là. Ca l’avait fait rire et il n’y croyait pas jusqu’à ce jour où il eut les mêmes symptômes que les autres.

Comment avez-vous connu le forum ? partenariat
Présence : 5/7
Autre chose ? pouet
Code du règlement :

Spoiler: